LVT -(A) 1 Alligator

Les Landing Vehicles Tracked (LVT) étaient une classe de véhicules amphibies de débarquement utilisés par la Marine américaine, le Corps des Marines des États-Unis et l'Armée de terre des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale. Initialement conçus uniquement comme transporteurs de fret pour navire, ils ont rapidement évolué pour transporter des troupes d'assaut et des véhicules blindés. Dans l'armée américaine, ils étaient aussi couramment nommés amphtrack (mot valise signifiant tracteur amphibie) ou amtrak.

Ils pouvaient atteindre une vitesse maximale de 32 km/h (12 km/h dans l'eau) et accueillir jusqu'à 30 passagers.

Après la Seconde Guerre mondiale, ils continuent d'être utilisés par l'armée française pendant la guerre d'Indochine et lors de la crise du canal de Suez puis pendant la guerre de Corée par l'armée américaine.

Dans les années 1950, les anciens LVT en service seront progressivement remplacés par des AAV-7A1.

german artillerieschlepper CT3 601(r)

Le STZ-5 avait une charge utile de 1,5 tonnes et une force de traction de 4 tonnes. Il pourrait atteindre une vitesse de pointe de 25 km / h. La Wehrmacht a utilisé ces véhicules équilibrés à des fins différentes.


En Septembre 1942, talingrad T ractor Z AVOD la «du» est devenu l'un des célèbres scènes de combats urbains acharnés pendant près d'une demi-année.
Jusque-là, il avait produit, entre autres, près de 10.000 STZ-5 tracteurs d'artillerie, les derniers étant ceux réalisés tandis que l'ennemi était littéralement aux portes. Entre les changements de production les travailleurs ont été envoyés au front à proximité.
Le STZ-5, l'un des rares tracteurs militaires spécialisées de l'Armée rouge, a été un succès complet, le seul inconvénient étant les pistes étroites de 12 pouces ne conviennent pas pour terrain enneigé et boueux.
Comme capturé beaucoup d'entre eux la Wehrmacht, il arrive à pas surprenant que la chlepper de l'allemand »R aupen O st« a montré une similarité significative dans la conception.

german 3,7cm FLAK 37

Le 3,7 cm Flak 18/36/37/43 était une série de canons anti-aérien produit par l'Allemagne nazie qui a vu le service répandue dans la Seconde Guerre mondiale. Le canon était entièrement automatique et efficace contre les avions volant à des altitudes allant jusqu'à 4200 m. [2] Le canon a été produite dans les deux versions remorqué et automoteurs. Avoir une doctrine souple, les Allemands ont utilisé leurs pièces anti-aériennes dans des rôles de soutien au sol ainsi; 37 mm calibres ne faisaient pas exception à cela. Avec la défaite de l'Allemagne, la production a cessé et, dans l'ensemble, 37 mm de calibre canon anti-aérien est tombé en désuétude progressive, étant remplacé par le mm Bofors de 40 armes à feu et plus tard, de 35 mm pièces antiaériennes produite en Suisse.

Russian heavy tank KV-2

La série de chars KV (initiales du ministre de la défense de l'URSS entre 1925 et 1940, le maréchal Kliment Vorochilov) est une série de chars de rupture soviétique qui a été produite de 1939 à 1943. Les chars sont conçus et fabriqués par le bureau SKB-2 de l’usine de chars Kirov à Léningrad. La série KV inclut divers prototypes et chars d'essais, dont les modèles KV-1 et KV-2 ont été fabriqués en série. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, l'usine de tracteurs de Tcheliabinsk a également produit des chars KV.

La série KV est une désagréable surprise pour la Wehrmacht lors de l’opération Barbarossa : Ils étaient à l'époque quasiment invulnérables à toutes ses armes excepté le mythique canon antiaérien Flak de 88 mm et les tirs directs d’artillerie.

BM-21 GRAD

Le BM-21 entre en service dans l'armée soviétique en 1963 afin de remplacer les BM-14 devenus obsolètes. Basé sur un châssis de Ural-375D, il comprend 40 tubes de lancement de roquettes.

Le BM-21 Grad (russe : БМ-21 « Град ») est un camion soviétique lance-roquettes multiples de 122 millimètres développé dans les années 1960. BM signifie Boïévaïa machina, « véhicule de combat », et le surnom Grad signifie « grêle ». En Occident, le système était initialement connu sous le nom M1964. Plusieurs navires emportent également des paniers de roquettes BM-21. Selon les munitions et les versions, la portée de ces roquettes d'un calibre de 122 mm est de 5 à 45 km.

 

Bergepanzer IV

Les problèmes de maintenance ne feront que s’accroître avec le développement de la Panzerwaffe au sein de la Wehrmacht ce qui aboutira à la nécessité de disposer d’engins de dépannage capable de prendre en remorque les Panzer en panne.

C’est dans ce contexte qu’interviendront les premières conversions de Panzer I, II, III et 38(t) en Bergepanzer.

 

Le Bergepanzer IV était une simple conversion d’engins envoyé en révision suite à des dégâts importants.

 

La conversion consistait en la suppression de la tourelle et la pose en lieu et place de planches de bois maintenus par les cadres en acier (avec une trappe simple sur le côté droit).

Une superstructure 2 tonnes était installée ainsi qu’un couplage vertical fixé à l'arrière pour remorquer d'autres véhicules à l'aide des barres de remorquage.

Sd Kfz 233

Le terme de Schwerer Panzerspähwagen (véhicule de reconnaissance blindé lourd) désigne l’ensemble des véhicules à six ou huit roues utilisés par la Wehrmacht au cours de la Seconde Guerre mondiale. Ils ont joué le rôle important de reconnaissance, en avant des divisions panzer, afin d’estimer les forces ennemies à combattre.

Les Schwerer Panzerspähwagen représentent ce que l’arsenal allemand avait de mieux pour la reconnaissance aux premiers mois de la guerre. Les premiers engins à six roues sont basés sur les camions civils mais avec un blindage métallique. Ces versions sont produites de 1932 à 1937, et sont progressivement remplacées par des engins à huit roues. L’abréviation SdKfz renvoie à Sonderkraftfahrzeug, terme générique désignant l’ensemble des véhicules de combat de la Wehrmacht, des half-tracks jusqu'aux chars d’assaut.

Certains 232 remis à jour, reçurent le canon court 7,5 cm KwK 37 L/24 en casemate ouverte (sans tourelle). 109 véhicules furent assemblés dans l’usine Büssing-NAG entre décembre 1942 et octobre 1943. 10 autres véhicules furent basés sur des châssis de 231/232 déjà construits en octobre 1942. Utilisés à partir de fin 1942, ils restèrent actifs jusqu’à la fin de la guerre, regroupé par peloton de 6 unités, en support des bataillons de reconnaissance.

BMP-1

Le BMP-1 est un véhicule de combat d'infanterie soviétique conçu dans les années 1960 pour remplacer les BTR-50 dans l'Armée rouge (BMP étant l'abréviation de « Boyevaya Mashina Pekhoty », en russe : « Боевая Машина Пехоты », soit « véhicule de combat d'infanterie »). Il a été vu pour la première fois lors d'une parade à Moscou en 1967. Il représente à l'époque un bond technologique important dans les véhicules de combat d'infanterie car il combine une grande mobilité, la protection de l'équipage embarqué, un moyen antichar et un système de protection NBC. Dans son domaine, son succès ressemble à celui de l'AK-47 des soldats qu'il transporte souvent.

BRDM-3

Il a été présenté en 1966 quelques années après être entré en service. Les modifications les plus importantes sont les suivantes: modernisations des systèmes de vision et de visée, armement plus puissant installé sur la tourelle qui est entièrement fermée, motorisation plus puissante et bénéficiant d'une consommation moindre, mise en place du système de défense NBC et amélioration du système de filtrage de l'air.

Le châssis du BRDM-2 peut recevoir un dispositif de lutte antiaérienne à la place des missiles antichars, il s'agit du Strela-1 (nom de code OTAN: SA-9 Gaskin). Il existe également une version de reconnaissance radiologique et chimique baptisé MRDM-2RH et une version de commandement sans tourelle appelée BRDM-2U.

 

GAZ-AAA mod 1940

Le GAZ (pour Gorkovsky Avtomobilny Zavod) AAA camion essieu triple était un développement de la double essieu GAZ-AA antérieure qui était une copie produite sous licence de la Ford Modèle camion AA 1.5ton. Le GAZ-AAA était simple essieu triple 6 x 4 camion qui a prouvé être robuste et fiable et en dehors du chariot de base de fret a également servi de base à de nombreuses variantes comme une ambulance, un atelier mobile et également une plate - forme pour les canons AA. Le GAZ-AAA a été produite de 1934 à 1943 avec des versions modifiées apparaissant en 1940 avec les deux roues de secours déplacé vers les ailes avant (kit Miniart # 35136 à venir) et de nouveau en 1943 avec les ailes en tôle plane (kit Miniart de # 35133 à venir ) et a également été utilisé comme base pour les véhicules blindés BA6 et BA10.

Land-Wasser prototype II

AMX 30B

L'AMX-30 est la deuxième génération de char de combat principal qui a équipé l'armée française pendant plus de trente ans. Ce char de deuxième génération a été construit à environ 3 500 exemplaires dont plus de 1 100 versions dérivées à partir de 1966 (dont la moitié exportée). Son châssis a été utilisé pour développer d'autres systèmes blindés tels le char de dépannage AMX-30D ou le véhicule d'emport du missile Pluton.

Conçu par les Ateliers de construction d'Issy-les-Moulineaux (AMX), l'AMX-30 est un assemblage d'acier coulé et corroyé. Sa tourelle est coulée d'une seule pièce. L'équipage se compose de quatre hommes. Le pilote est assis à l'avant gauche du châssis et les trois autres membres de l'équipage (le chef de char et le tireur à droite, le chargeur à gauche) sont installés dans la tourelle.

L'AMX-30B est mis en service à partir de 1967. Le premier régiment à en être équipé est le 503e régiment de chars de combat à Mourmelon, suivi du 501e à Rambouillet. Les régiments blindés des forces françaises en Allemagne sont équipés par les séries suivantes sorties des ateliers de Roanne. L'ordre de bataille décidé en 1967 prévoit un régiment de chars AMX-30 pour chacune des quinze brigades des cinq divisions mécanisées alors en serviceWeb 3.

Au début des années 1980, environ 1 210 AMX-30 ont été en ligne en compagnie de 1 010 AMX-131. Au , un total de 1 258 chars AMX-30 sont en service dans l'armée de terre française ; 1 217 en France et les Forces françaises en Allemagne soit 843 AMX-30B2 et 415 AMX-30 de première génération ; 1 108 sont dans des formations d'active et 109 dans des unités « écoles » réparties dans les 19 régiments de chars de combat et dans les escadrons blindés des treize régiments d'infanterie mécanisée des trois corps d'armée de la 1re armée française ; 41 AMX-30B2 sont affectés aux Forces françaises à Berlin. L'AMX-10 RC, le seul autre engin ayant un canon de 105 mm, est lui présent à 268 unités à cette dateWeb 4. Les AMX-30B sont retirés en 1997.

AMX 30 AUF1

Le premier prototype Amx 30 AUF1 sort en 1972, et les premiers prototypes opérationnels ont commencé à tirer en 1973/74. À l'époque, le système de chargement semi-automatique permet une cadence de tir « normale » (dite « efficacité ») de six coups en deux minutes, « maximale » de trois coups en quinze secondes.

Au même moment, les développements de la douille combustible et du système de chargement automatique se poursuivent. Ces adaptations confèrent à l'AUF1 une capacité à tirer en atmosphère NBC pratiquement unique au monde.

Après la réalisation de six prototypes, une présérie de six engins sort pour expérimentation en régiment (le 40e RA de Suippes) en 1979. Mais le programme coûte cher et reste au point mort jusqu'au début des années 1980, la fourniture du système à l'Irak permettra de lancer l'industrialisation et d'en doter progressivement l'artillerie française.

L'AuF1 est basé sur châssis AMX30 B, avec adjonction d'un groupe auxiliaire de puissance Citroën AZ de 4 kW en châssis. Le châssis pèse 24 t. et sa tourelle portant le canon de 155 mm pèse 17 t. en ordre de combat.

Le système a été adopté par les artilleurs du Koweït, à la suite de la guerre du Golfe, les premiers matériels ayant été livrés le lendemain du cessez-le-feu. Un régiment à 17 pièces (contrat JAHRA 1) a été équipé d'AuF1T pré équipés CTI et a été en alerte lors de la seconde alarme SADDAM en février 1993.

L'AuF1 a suivi plusieurs évolutions, d'AuF1 en AuF1T (en 1992) par modification du système de commande de chargement (PCH) qui passe de la technologie à relais à la technologie microP, du groupe auxiliaire de puissance qui passe d'un moteur thermique (AZ Citroën) 4 kW à une turbine Microturbo Gévaudan 12 kW. Le gain en disponibilité opérationnelle (+ 30 %) amène ce matériel à forcer la décision lors de l'engagement en ex-Yougoslavie sur le Mont Igman lors bombardement de la Bosnie-Herzégovine par l'OTAN en 1995 ou 8 obusiers automoteurs armés par le 40e régiment d'artillerie1 et le 1er régiment d'artillerie de marine2) sont engagés.

Des versions intermédiaires ont vu le jour, l'AuF1 TM (T-Modex (Module Expérimental)) au 40e RA de Suippes qui a permis de valider l'implantation ATLAS en AuF1 qui avait un châssis équipé AuF1T avec turbine et une tourelle équipée ATLAS.

Le choix a été fait de monter la tourelle 155AuF1TA sur un châssis AMX30b2 remotorisé avec un moteur Renault Mack E9 choisi en remplacement du moteur Hispano HS110 commandé à 500 exemplaires pour les diverses versions de l'AMX-30 en 1998.

En 2013, l'artillerie française disposait de 157 canons de 155 mm dont 77 Caesar et 80 canons automoteurs blindés AUF-1. Au 1er juillet 2015, elle aligne 121 canons de 155, les AUF-1 sont en cours de retrait avec 32 unités en service en 20163. Les derniers devrait disparaitre du tableau détaillant les « principaux équipements opérationnels » en 20194 et devraient rester en parc jusqu'au environ 20305.